L’important à la rentrée c’est que ça bouge, n’en déplaise à ceux qui nous concoctent tous les moyens possibles dont la guerre pour étouffer les voix citoyennes.

Quant aux perspectives de changement, elles ne doivent pas être prisonnières des institutions de la 5e République. Nous avons des points d’appui à l’AN certes, notamment avec un groupe communiste et ultra-marin renforcé dans une gauche plus alternative qu’hier et on ne s’en plaindrapas, mais l’important c’est de bousculer l’existant et ses injustices criantes.

De là essentiellement pourra ressortir quelque chose de concret.

Les motifs de lutte sont multiples. Aucune n’est petite. Ce qui est petit, c’est d’attendre toujours 5 ans pour toujours se faire avoir, d’une manière ou d’une autre au point que nous retrouvons aujourd’hui avec une droite durcie et extrême à presque 70% de la représentation nationale, n’en déplaise à ceux qui ont cultivé les illusions pour mieux se faire valoir.

Nous avons besoin de quoi ? D’un mouvement social suffisamment fort et déterminé pour bousculer les petits arrangements d’un capitalisme de plus en plus vorace et cruel.

N’en doutons pas, la CGT est prête à prendre toute sa part dans une rentrée sociale qui doit être à la hauteur des enjeux.

J’y participerai à mon humble niveau., mais avant je serai également présent à …’